mardi 10 mai 2016


Bora Bora, Star mais pas Perle

du Pacifique

 

Nous arrivons au terme de notre croisière en Polynésie Française ; dernière des îles sous le vent : Bora Bora.

 

A première vue une île au relief puissant, recouverte de végétation d’un vert lumineux, un lagon aux extraordinaires camaïeux de bleus et de turquoise, un chapelet de motus frangés par le sable blanc des récifs coralliens.

Au lever du soleil on croit encore rêver au paradis sur terre :

 


Une plage naturelle aux eaux transparentes, Matira, un paysage de carte postale, cet immense lagon turquoise, bordé par une plage de sable clair que l’on peut traverser jusqu’au récif sans risque, la piscine n’a pas beaucoup de profondeur, d’où sa couleur…

 


Bora Bora, c’est aussi les grands hôtels 5 étoiles qui sont pour la plupart implantés sur un motu très long face à ce lagon turquoise qui étincelle au soleil, des paillotes sur l’eau avec des planchers de verre pour voir les poissons lézarder.

 
 



Mais cette île c’est aussi une escale de voile pour les aventuriers « tour-du-mondistes ». un des premiers d’entre eux, Alain Gerbaut, a une stèle à sa mémoire car il fit ici escale  ici lors du 1er tour du monde en solitaire de 1923 à 1929.

 


Bora Bora ce n’est pas que la bronzette, les 5 étoiles et le snorkeling, c’est aussi pour les plus courageux et volontaires (dont nous faisons partie !) une belle étape de randonnées par des sentiers escarpés et mal entretenus. La performance n’en est que plus louable !

 


Au final, BB est bien la star du pacifique par sa renommée et cela valait le coup d’y aller mais la perle de ces archipels au fond de notre cœur est ailleurs, plus loin, plus sauvage et paradoxalement plus humaine : quelque part aux Marquises ou aux Tuamotu.

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