Bora Bora, Star mais
pas Perle
du Pacifique
Nous arrivons au terme de notre croisière en Polynésie
Française ; dernière des îles sous le vent : Bora Bora.
A première vue une île au relief puissant, recouverte de
végétation d’un vert lumineux, un lagon aux extraordinaires camaïeux de bleus
et de turquoise, un chapelet de motus frangés par le sable blanc des récifs
coralliens.
Au lever du soleil on croit encore rêver au paradis sur
terre :
Une plage naturelle aux eaux transparentes, Matira, un
paysage de carte postale, cet immense lagon turquoise, bordé par une plage de
sable clair que l’on peut traverser jusqu’au récif sans risque, la piscine n’a
pas beaucoup de profondeur, d’où sa couleur…
Bora Bora, c’est aussi les grands hôtels 5 étoiles qui sont
pour la plupart implantés sur un motu très long face à ce lagon turquoise qui
étincelle au soleil, des paillotes sur l’eau avec des planchers de verre pour
voir les poissons lézarder.
Mais cette île c’est aussi une escale de voile pour les
aventuriers « tour-du-mondistes ». un des premiers d’entre eux, Alain
Gerbaut, a une stèle à sa mémoire car il fit ici escale ici lors du 1er tour du monde en
solitaire de 1923 à 1929.
Bora Bora ce n’est pas que la bronzette, les 5 étoiles et le
snorkeling, c’est aussi pour les plus courageux et volontaires (dont nous
faisons partie !) une belle étape de randonnées par des sentiers escarpés
et mal entretenus. La performance n’en est que plus louable !
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