mardi 25 mars 2014

The British Virgin Islands




De Marigot (St Martin) nous naviguons la nuit du 17 mars direction les BVI, British Virgin Islands, armé de notre tout nouveau génois arrivé tout droit de la voilerie North Sails de Cap Town accompagnés de Laure et Pierre-Marie arrivés de métropole.
 


 

Bref arrêt à Spanish Town sur Virgin Gorda pour la clearence : c’est le pensum du capitaine dès qu’on arrive dans un pays différent et avant de le quitter, il nous faut, en plus des passeports de l’équipage, déclarer le bateau avec moult détails.

Saut de puce pour rejoindre notre premier mouillage à Norman Island, 1ère petite île paradisiaque très prisée des touristes américains qui s’y connaissent en bons coins sympas : le site s’appelle « the Bight », le bar est super !
 
 

D’ailleurs tout notre périple aux BVI va suivre les conseils d’un US man, skipper qui fait les BVI depuis 10 ans et que Benoît a rencontré en voulant l’imiter faire le funambule entre deux cocotiers sur la plage de Simpson Bay. Benoît ne s’est pas cassé une jambe mais a gagné un  super programme de visites digne du meilleur charter…
 
 

2ème jour, nous allons sur Copper Island, à Manchioneel Bay où un snorkling extra nous attend : éblouissant. Des coraux à profusion, des poissons multicolores, on nage avec une raie dans un aquarium géant.
 

 

3ème jour, retour à Virgin Gorda pour passer la journée sur le site des « Baths », ce sont de gros blocs granitiques que l’on escalade ou contourne ; ça ressemble, parait-il aux Seychelles ! on se ballade dessous dans des grottes où il y a des piscines d’eau de mer turquoise et transparente.
 
 

Le lendemain nous voguons vers l’île d’Anegada où le snorkling promet d’être prodigieux : quelques 300 épaves dans les coraux environnants. Malheureusement ne pouvant entrer dans le chenal menant au mouillage principal à cause de notre tirant d’eau (2m90), nous tentons vainement un autre mouillage moins bien protégé qui ne tiendra pas, aussi nous faisons demi-tour et nous dirigeons vers Marina Cay où nous resterons 2 jours.

Marina Cay est un îlot ravissant, le site de plongée est magnifique au milieu de coraux énormes avec toute la flore et la faune adéquate, on nage avec les tortues, c’est fabuleux !
 
 

Cerise sur le gâteau, l’îlot possède un restaurant où la langouste locale est de premier choix…

Le 7ème jour nous allons sur « Jost Van Dyke » île du nom d’un pirate-commerçant-hollandais (double pléonasme) du 17ème siècle. Le site de mouillage principal est « White Bay » mais là aussi notre tirant d’eau nous joue un tour aussi nous nous installons dans la baie d’à côté, à Great Harbour. Après-midi plage sur White Bay au sable blanc et à l’eau translucide.
 
 

Soirée au Foxy, le bar mythique de Great Harbour, nuit quelque peu agitée car une foultitude de jeunes américains sont arrivés sur de nombreux catamarans pour faire la teuf toute la nuit à bord et au Foxy !

Le lendemain, nous quittons cette belle île pour Tortola et le site de Sopers Hole où nous nous posons dans une marina pour faire le plein de provisions, eau, électricité en vue de notre retour vers la Martinique que nous commencerons dès demain.

Voilà, les BVI, c’est magnifique, un terrain de jeu incroyable pour voileux : du vent, sur une mer plate, au milieu d’îles ensoleillées : un délice, on vous dit.

dimanche 2 mars 2014

Chers Aficionados,


Nous avons arrêté le blog 15 jours car c’était les vacances de février pour les petits enfants de la métropole et mamie-babou et Benoît étaient trop occupés pour écrire…

Ces 2 semaines sont passées trop vite pour tout le monde !

Arrivée le 17 février à l’aéroport Princesse Juliana de Marion, Isabey et Louane et 1er bain dans la mer Caraïbe au sortir de l’avion, choc thermique assuré mais vite maitrisé !
 


Dès le lendemain, nous quittons la marina de Simpson Bay pour mouiller à Marigot. Visite de la petite ville et déjeuner de cuisine créole dans un lolo typique. Plage et bain avec des enfants d’ici.

2ème étape : Grand Case et sa superbe plage. Concours de châteaux de sable entre les deux cousines…

3ème étape : Baptême de voile pour les deux petites, on va à Anguilla                    (l´ anguille). Petite île de 26 km de long sur 12 de large, toute plate.

 

Sa spécialité ? Des plages de rêve : eau turquoise transparente, coraux blancs, poissons multicolores, étoiles de mer énormes et des jolies tortues de mer qui viennent nager autour du bateau… Le paradis sur terre ! Les filles sont émerveillées !!!

4ème étape : Encore de la voile pour aller à l’île de Saint Barthélemy avec un crochet par l’Anse Marcel à Saint Martin pour alléger le parcours.

 

Visite de Gustavia, la micro-capitale de l’île ; très « prout-prout » avec ses boutiques de luxe, ses bars branchés, son « dress-code », sa faune etc… Rigolo mais ne pas s’y éterniser !

Ensuite mouillage dans l’Anse du Colombier où l’on découvre un autre Saint Barthélemy : Ile superbe, montagneuse, verte, authentique et préservée. C’est l’île des tortues de terre et de mer pour le plus grand bonheur des petites et des randonnées pédestres sur des sentiers escarpés en plus de plages magnifiques et désertes.

Dernière étape trop vite arrivée ; retour sur terre ou plutôt sur Saint Martin en vue du départ le 28 février après un dernier jour de plage dans la baie d’Orient.

 

Carole et Benoît retournent eux aussi en métropole le 2 mars.

Aujourd’hui, jour du départ, il fait un temps splendide : une petite brise ride à peine la mer transparente et toute plate ! Après tous ces jours de vent, de nuages et d’averses, ça donne envie de revenir…

Ce que nous ferons le 16 mars avec Pierre-Marie et Laure.

mercredi 12 février 2014

Combien d'îles



Une anecdote :

Quand nous avons pris le bateau à Saint Martin pour Saba, une américaine d’une soixantaine d’année un peu volubile était toute heureuse de dire à qui voulait l’entendre qu’elle était de San Diego, que Saint Martin était la première île sur laquelle elle avait mis les pieds et que Saba allait être sa seconde.
 
 

Cela nous a permis de faire un petit retour en arrière et de nous apercevoir que depuis notre départ il y a deux ans, c’est 40 îles sur lesquelles nous avons marché. Quelle chance !
 
 

Et en grattant un peu plus le fond de notre mémoire c’est une centaine d’île que nous pouvons nommer et sur lesquelles nous sommes allés. Vive la voile !
 
 

Une bonne occasion de nous reconnaître privilégiés, car chaque île est un morceau d’Histoire, de Géographie, d’Hommes, d’amis…

lundi 10 février 2014


Hiking to the highest peak of the Netherlands


 

Dis comme ça, cela peut faire sourire et pourtant on l’a fait et ce n’est pas une promenade de santé mais bien un vrai trail de 3 h.
 


Cela se passe à Saba une petite île des Antilles Néerlandaises qui avec son Mont Scenery  (877 m) possède donc le point culminant du royaume des Pays-Bas.

Cette île de Saba est un petit bijou à une cinquantaine de km de Saint Martin, l’île de tous les superlatifs :

Elle détient le sommet le plus haut des Pays-Bas (1064 marches moussues et glissantes),

Elle possède la plus petite piste commerciale du monde sur son aéroport (400m),



Toutes ses maisons ont vue sur la mer (il n’y a que 1800 habitants),

Tout est américain : les prises de courant, le courant lui-même (110 volts), l’indicatif téléphonique, c’est l’anglais qui est enseigné à l’école primaire, le hollandais n’étant appris qu’en seconde langue, la population (les américains sont beaucoup plus nombreux que les hollandais).

Il y a très peu de noirs, l’île n’étant que la partie émergée d’une grande montagne souterraine, il n’y a pas de culture possible, donc il n’y a pas eu d’esclaves, donc peu de noirs aujourd’hui.

Ces trois jours passés à Saba ont été une pause magnifiquement reposante même si les trois treks que nous avons fait (un chaque jour) ont mis à l’épreuve nos muscles et nos articulations. Nous terminons ainsi notre cycle consacré à la découverte des Antilles Néerlandaise.

 

Maintenant nous sommes de retour à Saint Martin où nous terminons la remise en état du bateau (tout prend beaucoup de temps dans ces îles) mais nous en voyons la fin et serons donc fin prêts pour recevoir fille et petites-filles de Carole les 2 dernières semaines de février. 

jeudi 30 janvier 2014

Un petit Suisse


Ce matin réveil en fanfare par un appel de Gaël qui en avait oublié le décalage horaire.
C'était pour me dire que leur prochain bébé va pour le mieux, toutes les analyses sont bonnes, c'est prévu pour le 1er août (fête nationale suisse).


rien de plus important à rajouter aujourd'hui ... et sans doute pour quelques jours.
Tous nos bons vœux, Güner et Gaël pour ce x ème descendant de votre bonne maman (celui ou celle qui a le courage de compter peut le mettre en commentaire !)

mercredi 29 janvier 2014

Sint Maarten


Après un peu de repos nous nous occupons de panser notre Sterwen, un électricien pour le pilote, un voilier pour notre génois et un diéséliste pour notre générateur, le reste des bobos étant soigné par nos soins.
 
 

Arrivée  surprise de Dominique et Yveline, deux des sœurs de Carole, elles étaient à la Guadeloupe et sont donc venues terminer leur séjour avec nous.
 
 

La piste d’atterrissage du Juliana Airport démarrant dès la plage, une des attractions de l’île consiste à se baigner avec son appareil photo à l’heure d’arrivée des jets, impressionnant ! 

mardi 28 janvier 2014

Cendrillon



Quand la mer a été dure, le marin à terre rentre rarement directement à la maison sans passer par quelques bars pour retrouver ses amis et se dessaler le gosier.

C’est ce que nous fîmes notre première soirée à Saint Martin. Après le dîner, un dernier verre (ainsi nommé même si ce n’est pas toujours le dernier) au bar du restaurant où nous faisons la connaissance de Nancy (ou Merce, tout le monde n’a pas compris la même chose), une américaine, consultante en Ressources Humaines sur les grands yachts (sic) qui arrose, elle, sa dernière soirée sur l’île.

Rapide connaissance réciproque et elle accepte notre invitation à boire le der des ders sur Sterwen.
 
 

L’habitude veut que nous laissions tous nos chaussures sur le ponton avant de monter à bord.

Cunha nous prépare nos excellents verres de rhum vénézuélien (Pompero Aniversario, Reserva Exclusiva) qui nous permettent de passer encore un bon moment jusqu’à une heure avancée de la nuit.

Nancy / Merce repartira en taxi mais quand Benoît posera sur le ponton un pied hésitant le lendemain, quelle ne fût pas sa surprise de constater que sa magnifique paire de Tongues Haivainas n’était plus qu’un couple désassorti composé de sa tongue gauche Haivanas et de la tongue droite en cuir de la belle américaine.


Dans le noir et les vapeurs alcooliques, cette dernière est partie avec sa tongue gauche et la tongue droite de Benoît !

… version moderne de Cendrillon ?  
 

lundi 27 janvier 2014

On l'a payé !



Quand il fait beau en Creuse , vous trouverez toujours un Creusois pour vous dire : « on va le payer ».

Et bien nous aurions dû plus nous méfier ; après tous ces jours et ces semaines au vent arrière, le bateau roulait bien un peu, on a même parfois été obligé de tirer des bords de grand largue tellement nous étions vent arrière, mais nous étions bien confortable, trop !

Il fallait bien qu’on le paie et pour le payer, on l’a payé !
 
 

Déjà en partant de Bonnaire le vent était plus fort que prévu et plus dans le nez (Cunha nous a rappelé qu’au Portugal ils appelaient la météo, la mentirologie) et ça n’a fait qu’empirer : une machine à laver, notre Sterwen, pour une grande lessive.

Il a fallu se réhabituer à marcher sur les cloisons, à s’accrocher à tout ce que l’on trouvait, à s’attacher pour préparer les repas, à anticiper les mouvements du bateau dans cette mer hachée, à prendre des paquets de mer à la barre…
 
 

On y était presque habitués après plus de 30 heures, l’après midi du second jour quand notre pilote automatique nous a lâché : la même chose qu’avant d’arriver au Brésil (la réparation Brésilienne n’aura pas tenu un an !). Notre dernier petit confort qui consistait à somnoler pendant son quart pendant qu’Otto (c’est le nom qu’on avait donné à notre pilote automatique) s’occupait de barrer, s’envole en éclat.

C’est donc en barrant par quart de 3 heures que nous avons enfin rejoint Saint Martin après 4 jours et 4 nuits de mer, une distance en ligne droite que nous aurions parcourue en 3 jours et 2 nuits si nous l’avions fait vent dans le dos !
 
 

Nous nous reposons donc ce soir dans une marina chic et chère côté hollandais de l’île où Sterwen est le plus petit bateau et de loin.

mardi 21 janvier 2014

Curaçao...Saint Martin








Après 5 jours à Curaçao nous avons repris la route direction Saint Martin via Bonaire






où nous sommes à nouveau ce soir cette fois-ci avec Cunha.






Nous avons profité de cette halte pour bien visiter Curaçao qui a des atouts touristiques :








- de belles plages et des coraux qui nous ont permis de faire de la plongée et d'admirer de magnifiques poissons tropicaux tel ce poisson lion.





- une belle capitale Willemstad, sorte d'Amsterdam des Antilles et c'est bourré de Hollandais en vacances ou expatriés.

Nous avons failli participer au hold up d'une bijouterie : alors que nous déjeunions sur la terrasse d'un café, deux coups de feu nous surprennent, c'est à moins de 100 m de nous et nous étions rentrés dans cette bijouterie avant de nous restaurer. Les passants qui courent dans tous les sens, l'ambulance, la police... Chicago !

Hormis cet épisode, c'est un lieu assez calme, plutôt sec et ensoleillé, avec une population métissée, enjouée et accueillante, les Caraïbes quoi !

Nous avons quitté cette île pour revenir à Bonaire afin de gagner quelques degrés sur notre route contre le vent qui nous attend dès demain en direction de Saint Martin que nous atteindrons dans 3 / 4 jours... donc pas de nouvelles d'ici là !

dimanche 19 janvier 2014

Curaçao


Très belle  navigation dans la Caraïbe entre Bonaire et Curaçao


Du vent, 20 / 25 nœuds pour nous pousser, du soleil et une belle houle bien formée ; super journée, sans grain, enfin !
Nous sommes arrivés dans l'après-midi à Curaçao. On entre par un chenal fermé par un pont basculant qui là était ouvert, donc nous n'avons pas attendu.



Au fond du chenal, une fois passé la vieille ville hollandaise de Willemstadt, on entre dans une vaste rade naturelle abritant les raffineries au fond de laquelle se trouve une marina / chantier nautique.

Le 17 arrive Cuña depuis Lisbonne via Caracas, le 18 Manu nous quitte pour Paris via Amsterdam.

La veille au soir nous avons fêté ces arrivée / départ dans un bon restaurant de la vielle ville hollandaise.
Curaçao ancienne et toujours possession hollandaise depuis le XVII ème siècle a maintenant un statut autonome sous protectorat hollandais.


Il reste de la grande période de la colonisation, une très belle petite ville à l'architecture batave, une sorte d'Amsterdam antillais ! la mer très bleue, le soleil la chaleur et les palmiers à la place de la mer du nord, de la bise et de la glace...
Autre curiosité de cette île, on y parle en plus de l'anglais et du hollandais, le patois local : le papiamento, un mélange de portugais, d'espagnol et de hollandais, et ça change d'une île à une autre entre Curaçao, Bonaire et Aruba.

A ce sujet, chacune de ces îles dites ABC a une fonction précise :
Bonaire, parc naturel océanographique
Curaçao, raffinage du pétrole vénézuélien
Aruba, les plages, les casinos, la fête à gogo.


Nous laissons passer un petit coup de vent avant de reprendre notre route vers Saint Martin, fini le vent dans le dos, nous allons remontez les alizés !
A bientôt, friendly.

jeudi 16 janvier 2014

Sous les tortues...la plage.



Nous avons quitté Grenade le 11 janvier pour l'archipel de " Los Roques" au large du Venezuela à 300 miles de Georgestown.
Nous sommes arrivés à Gran Roque, l'île principale habitée après 2 nuits et 1 jour de navigation.
Vous n'avez plus eu de nos nouvelles car nous sommes tombés dans un trou technologique : pas de Wi-Fi sur ces îles, pas de voiture ! des petits hôtels et des rues en sable, c'est le point de départ pour les touristes d'excursions vers les innombrables îles désertes des récifs coralliens qui constituent le paysage alentour ; imaginez les Maldives aux Caraïbes



 des atolls aux eaux verte-marine, bleu-turquoise, des coraux avec des poissons multicolores, du sable blanc et rose et de la mangrove.
Le tout fréquenté par des pélicans, des tortues et des lézards...




pas d'eau douce bien sûr, très peu de végétation, le tout étendu sur une longueur (Est-Ouest) de 50 km et une largeur (Nord-Sud) de 25 km, énorme !




Nous avons passé 3 jours dont une nuit très agitée dans un atoll environné de récifs mais heureusement les fonds en sable ont bien retenu notre ancre !
Hier soir nous avons quitté ce paradis tropical pour un autre à 100 miles à l'ouest où nous sommes arrivés ce matin : l'île de Bonaire, île néerlandaise à statut "indépendant", en fait un parc géologique géré par une société américaine. Les fans de "diving" connaissent bien, parait-il, ce paradis de la plongée posé sur un écrin de coraux préservés depuis plus de 40 ans.
Nous partons demain pour Curaçao à 50 miles où nous déposerons Manu et récupèrerons Cuña avec qui nous allons continuer notre périple transcaraïbe. Cuña, ami portugais avec lequel nous avions fait le premier tronçon de notre périple (Portimao / Madeira)


vendredi 10 janvier 2014

Cap au sud


Après Pierre-Marie qui est parti le 7,
Nous réceptionnons Manu le 8,



et le 9 matin à 5h, c'est Aurélie qui nous quitte


réveillés de bonne heure nous en profitons pour partir aux aurores sur Grenade  (130km) que nous atteignons à 10 nœuds de moyenne sous trinquette et 1 ris.


Après une bonne nuit nous préparons le bateau pour partir cette après midi pour 48h de navigation vers Los Roques, archipel situé au large du Venezuela.
A bientôt

mardi 7 janvier 2014

Comme en 14

 

Après un intermède familial à l'occasion de Noël,



Nous avons passé la fin d'année et le début de 2014 en organisant une croisière initiatique dans les Grenadines pour Pierre-Marie et Aurélie (amie d'Hubert)

PM et les 2 pitons de Ste Lucie
Aurélie aux Tobago Cays



Nous leur avions concocté le meilleur des Grenadines

C'est ainsi qu'en quittant La Martinique nous avons mouillé à La Soufrière (Ste Lucie) puis à Walilabou (St Vincent)

Pour réveillonner sur Béquia





Avant d'atteindre Mayreau

Puis les Tobago Cays

Il était alors temps de remonter par le même chemin jusqu'à St Vincent où ils reprendront l'avion pour Fort de France et retour en Métropole.







Quant à nous, nous allons reprendre notre route de la découverte vers Grenade, le Venezuela et les îles néerlandaises de Bonaire et de Curaçao.

Pour cette partie nous serons accompagnés de Manu ( Emmanuel Suffert) qui nous rejoint demain sur Saint Vincent. Dans la mesure des connections internet nous reprendrons notre blog régulièrement.

Iguane aux Tobago Cays