Dès notre départ de Fortaleza, nous pensions bien ne pas nous arrêter
en
Guyane car nous n’avions pas assez de temps pour bien profiter de
ce
département, nous y reviendrons donc.
Toutefois notre objectif était de
faire un pit-stop dans la baie des
cocotiers des îles du salut (celles du
pénitencier) pour reposer nos corps
endoloris. Le démarreur de notre moteur
en a décidé autrement. En effet
lors de notre nuit dans le pot au noir nous
avions essayé de nous extirper
de la pétole grâce à notre moteur mais au lieu
de démarrer une odeur de
brulé nous a contraints à nous en sortir à
l’ancienne, comme du temps de la
marine à voile et depuis nous n’avons pas
réussi à le faire démarrer.
Aussi nous avons pris la décision d’atteindre
directement Grenade où nous
avons repérer un mouillage bien orienté facile
d’accès à la voile et où
nous pensons pouvoir effectuer la réparation.
Ce
matin en passant au large de Kourou, quel ne fut pas notre
étonnement
d’entendre parler français sur notre VHF pour un Avurnav (Avis
Urgent aux
Navigateurs) concernant des débris de fusée à éviter sur Zone
!
De plus aujourd'hui nous avons fêté notre record de 240 miles (environ
430
km) effectués en 24h ce qui fait qu’en 5 jours depuis notre départ
nous
avons effectué 1033 miles soit une moyenne de 207 miles par jour ou
8.6
nœuds (plus de 15 km/h)
« Ça n’est peut-être pas grand-chose pour
vous, mais pour nous c’est déjà
beaucoup »…
jeudi 28 février 2013
mercredi 27 février 2013
Allo, A l'eau, j'ai perdu la ligne
Si vous voyez passer un gros poisson avec un hameçon dans la gueule,
un
leurre devant, 50 mètres de fil, un élastique amortisseur et un
emmagasineur de fil au bout, il est à nous !
En effet, au petit matin, Benoît était de quart quand il a senti que les
conditions étaient bonnes pour la pêche, c’est donc tranquillement qu’il
s’est mis à installer le matériel quand, alors qu’il s’apprêtait à attacher
l’élastique amortisseur de prise sur le bateau, tout le matériel lui a
sauté des mains : un gros poisson venait de se faire prendre, la ligne
n’étant pas encore assurée, il n’a pu que regarder son emmagasineur en
plastique orange faire du ski nautique en sautant d’une vague sur l’autre à
vive allure !
De la gloire (prendre une belle prise en moins d’une minute) à la honte
(perdre tout le matériel de pêche) le passage est étroit.
Encore une expérience de plus !
leurre devant, 50 mètres de fil, un élastique amortisseur et un
emmagasineur de fil au bout, il est à nous !
En effet, au petit matin, Benoît était de quart quand il a senti que les
conditions étaient bonnes pour la pêche, c’est donc tranquillement qu’il
s’est mis à installer le matériel quand, alors qu’il s’apprêtait à attacher
l’élastique amortisseur de prise sur le bateau, tout le matériel lui a
sauté des mains : un gros poisson venait de se faire prendre, la ligne
n’étant pas encore assurée, il n’a pu que regarder son emmagasineur en
plastique orange faire du ski nautique en sautant d’une vague sur l’autre à
vive allure !
De la gloire (prendre une belle prise en moins d’une minute) à la honte
(perdre tout le matériel de pêche) le passage est étroit.
Encore une expérience de plus !
lundi 25 février 2013
Equateur, 2ème
A midi pile, heure locale solaire, nous avons franchi, hier dimanche, à nouveau l’équateur, cette fois du sud au nord. Est-ce que le passage de l’équateur en bateau se fête à chaque passage ou uniquement la première fois pour le marin ou encore la première fois pour le bateau ? nous n’avions pas la réponse, toute personne qui la connait peut nous la transmettre.
Dans le doute, nous nous sommes abstenus, surtout qu’au même moment notre halebas de bôme nous a causé un petit souci qui nous a occupés une petite heure. Donc juste une bibine la réparation finie avant le repas de midi.
Mal nous en a pris car dès la fin de journée Neptune et Eole se sont mis en colère nous rappelant qu’après l’équateur il pouvait y avoir le pot au noir, et nous l’avons eu. Ça a commencé par de violents grains pendant une bonne heure et par la pétole sous la pluie le reste de la nuit.
Peu de sommeil donc pour l’équipage qui, à la question « comment ça va ? »
peut répondre : « comme un lundi »
Nous avons donc un début de réponse : il faut fêter Eole, Neptune et Yémanja à chaque passage.
Dans le doute, nous nous sommes abstenus, surtout qu’au même moment notre halebas de bôme nous a causé un petit souci qui nous a occupés une petite heure. Donc juste une bibine la réparation finie avant le repas de midi.
Mal nous en a pris car dès la fin de journée Neptune et Eole se sont mis en colère nous rappelant qu’après l’équateur il pouvait y avoir le pot au noir, et nous l’avons eu. Ça a commencé par de violents grains pendant une bonne heure et par la pétole sous la pluie le reste de la nuit.
Peu de sommeil donc pour l’équipage qui, à la question « comment ça va ? »
peut répondre : « comme un lundi »
Nous avons donc un début de réponse : il faut fêter Eole, Neptune et Yémanja à chaque passage.
dimanche 24 février 2013
La Pêche
Oui, nous avons la pêche !
D’abord parce que le bateau marche bien, 9 à 10 nœuds entre petit et grand largue (vent de travers à ¾ arrière), vent régulier est-sud-est, force 18 à 25 nœuds, tout pour bien faire marcher notre Sterwen dans la bonne direction.
Avec un ris dans la grand-voile et la trinquette devant, nous avançons vite et bien sur un océan bleu indigo et une mer bien formée. Heureusement nous sommes à présent amarinés comme de vieux loups de mer.
Ensuite, après une pluie tropicale et rafraîchissante, le bateau continuait à avancer à plus de 10 nœuds quand nous nous sommes aperçus que notre ligne de traîne passait de gauche à droite du bateau (et vice versa), une grosse prise était en train de se débattre. En effet une grosse dorade coryphène était accrochée à notre hameçon. Après une âpre lutte, nous avons remonté
sur le pont arrière une dorade d’1.3 m (estimée 6 ou 7 kilos), Paulo tu peux être fier de nous !
Vous êtes tous conviés à bord pour nous aider à venir à bout du poisson qui encombre notre frigo. (voir l’onglet notre position pour nous rejoindre)
D’abord parce que le bateau marche bien, 9 à 10 nœuds entre petit et grand largue (vent de travers à ¾ arrière), vent régulier est-sud-est, force 18 à 25 nœuds, tout pour bien faire marcher notre Sterwen dans la bonne direction.
Avec un ris dans la grand-voile et la trinquette devant, nous avançons vite et bien sur un océan bleu indigo et une mer bien formée. Heureusement nous sommes à présent amarinés comme de vieux loups de mer.
Ensuite, après une pluie tropicale et rafraîchissante, le bateau continuait à avancer à plus de 10 nœuds quand nous nous sommes aperçus que notre ligne de traîne passait de gauche à droite du bateau (et vice versa), une grosse prise était en train de se débattre. En effet une grosse dorade coryphène était accrochée à notre hameçon. Après une âpre lutte, nous avons remonté
sur le pont arrière une dorade d’1.3 m (estimée 6 ou 7 kilos), Paulo tu peux être fier de nous !
Vous êtes tous conviés à bord pour nous aider à venir à bout du poisson qui encombre notre frigo. (voir l’onglet notre position pour nous rejoindre)
Repartis
Dernier petit déjeuner pris à bord avec les enfants, nous les accompagnons au taxi pour l’aéroport pour qu’ils rejoignent Sao Paulo où un dîner d’anniversaire d’un collègue de l’EHL les attend avant de reprendre un vol pour Paris et Genève dès demain.
L’équipage de base au grand complet (Carole, Hubert et Benoît) nous nous affairons aux derniers préparatifs et c’est à midi trente, heure locale que
nous quittons le Brésil.
Bon vent de 20 nœuds, juste un tout petit peu trop vent arrière ce qui nous oblige à faire une route légèrement plus nord que la route directe.
Dès la fin d’après-midi, notre ligne se tend et nous remontons notre dîner : un petit poisson portion pour trois, que nous avons, faute de certitude, baptisé du doux nom de maquereau espagnol. Quatre à cinq cent grammes de filets nous attendent sagement dans notre réfrigérateur.
Pas de nuage inquiétant ce soir à l’horizon, la nuit devrait être
tranquille comme le sont nos amis brésiliens que nous venons de quitter.
L’équipage de base au grand complet (Carole, Hubert et Benoît) nous nous affairons aux derniers préparatifs et c’est à midi trente, heure locale que
nous quittons le Brésil.
Bon vent de 20 nœuds, juste un tout petit peu trop vent arrière ce qui nous oblige à faire une route légèrement plus nord que la route directe.
Dès la fin d’après-midi, notre ligne se tend et nous remontons notre dîner : un petit poisson portion pour trois, que nous avons, faute de certitude, baptisé du doux nom de maquereau espagnol. Quatre à cinq cent grammes de filets nous attendent sagement dans notre réfrigérateur.
Pas de nuage inquiétant ce soir à l’horizon, la nuit devrait être
tranquille comme le sont nos amis brésiliens que nous venons de quitter.
jeudi 21 février 2013
Adeus Brasil
Eh oui tout a une fin, notre séjour brésilien s’achève
demain.
Laure, Antoine et son ami Benoît prennent un vol pour Sao
Paulo dès demain matin avant de rentrer qui à Paris, qui à Genève et Lausanne
et nous devrions appareiller après les préparatifs d’usage.
Objectif : Grenade, île de la Caraïbe, une longue
traversée d’une dizaine de jours que nous ferons avec ou sans escale aux îles
du Salut (Guyane Française), bien connue de Dreyfus et autre Papillon.
Nous vous tiendrons informer de notre avancée par des mails
réguliers, via notre Iridium et Gaël ou Antoine.
A bientôt donc
mercredi 20 février 2013
De Recife à Fortaleza
Deux grandes étapes nous attendaient : 160 miles de
Recife à Natal et 255 miles de Natal à Fortaleza.
La première étape dans des alizés de 15 à 20 nœuds ont
permis une adaptation tranquille pour Antoine et Benoît puis à la fin des quarts,
au petit matin, un barracuda de plus d’un mètre s’est accroché à notre hameçon.
Après une lutte sans merci digne d’Hemingway, le vieil homme
et la mère ont remonté cette énorme bête sur le pont et c’est à trois que nous l’avons
maintenu ferme pour l’occire, le vider et l’écailler. Carpaccio, rôti au four,
Moqueca (curry bahiannais) et terrine sont les quatre façons dont nous avons
dégusté ce poisson.
Mouillage à Natal devant un joli « iate club »,
bain de mer sur les nombreuses plages au pied des dunes, excursion à Pipa,
jolie station au sud de Natal (le St Trop’ du Nordeste) puis nous avons repris
la mer en fin de journée.
Après un joli petit coup de vent, non annoncé à la météo, dès
le début de la nuit, nous avons repris le rythme des quarts pour arriver au 17
février,
L’anniversaire de Laure
Toasts de rillettes de canard et d’oie pour le champagne,
terrine de poisson, salade composée, gâteau au chocolat et salade de fruit
exotique. Une première pour Laure qui avait plutôt l’habitude de fêter son anniversaire
en col roulé devant une cheminée.
Après une calme seconde nuit nous sommes arrivés à
Fortaleza, mouillage sous voile dans l’avant port car Yann (alias Yanmar 110cv)
nous a fait un caprice.
Nous allons passer quelques jours ici avant de nous séparer
de Laure, Antoine et Benoît (l’autre, le grand) et de retrouver l’hémisphère
nord.
mardi 12 février 2013
Carnaval à Recife
Recife, modeste bourgade de 1.5 millions d’habitants a aussi son carnaval
plus « bon enfant », familial, entre potes, qu’à Rio ou Salvador. Ici les
blocos (Assoc de quartier) défilent sur des podiums avec leur banda. Chaque
Blocos a un thème avec les costumes magnifiquement emplumés qui conviennent
et la musique ad hoc et aussi à donf.
Beaucoup d’enfants déguisés, même les tout-petits, adorables !
Nous avons acheté des coiffures pour être au diapason de cette foule : un
masque vénitien pour Laure, un petit chapeau doré rigolo pour Benoît, une
coiffure fleurie et emplumée style 1930 pour Carole et c’est superbement
équipés que nous avons participé à notre première soirée carnavalesque
brésilienne.
Dès le lendemain, Antoine et son ami Benoît sont arrivés à l’aéroport de
Recife. Seconde soirée carnavalesque à Recife.
Lundi nous sommes tous allés à Olinda où un autre Carnaval, de jour celui-
là, nous attendait au sein de cette ville historique à l’architecture
coloniale.
Aujourd’hui mardi, nous partons avec Sterwen sur Natal que nous atteindrons
dans 24 heures environ.
Sans internet à Recife, nous transmettons cet article par satellite à Gaël
qui va nous le transférer sur notre blog, malheureusement sans photos.
plus « bon enfant », familial, entre potes, qu’à Rio ou Salvador. Ici les
blocos (Assoc de quartier) défilent sur des podiums avec leur banda. Chaque
Blocos a un thème avec les costumes magnifiquement emplumés qui conviennent
et la musique ad hoc et aussi à donf.
Beaucoup d’enfants déguisés, même les tout-petits, adorables !
Nous avons acheté des coiffures pour être au diapason de cette foule : un
masque vénitien pour Laure, un petit chapeau doré rigolo pour Benoît, une
coiffure fleurie et emplumée style 1930 pour Carole et c’est superbement
équipés que nous avons participé à notre première soirée carnavalesque
brésilienne.
Dès le lendemain, Antoine et son ami Benoît sont arrivés à l’aéroport de
Recife. Seconde soirée carnavalesque à Recife.
Lundi nous sommes tous allés à Olinda où un autre Carnaval, de jour celui-
là, nous attendait au sein de cette ville historique à l’architecture
coloniale.
Aujourd’hui mardi, nous partons avec Sterwen sur Natal que nous atteindrons
dans 24 heures environ.
Sans internet à Recife, nous transmettons cet article par satellite à Gaël
qui va nous le transférer sur notre blog, malheureusement sans photos.
jeudi 7 février 2013
repos à Maceio
Ce jeudi nous sommes arrivés au petit matin à Maceio où nous mouillons pour un repos bien mérité.
La météo vient de nous confirmer que dès demain l’alizé remettra du sud dans son est, aussi nous serons normalement bien à Recife pour accueillir Antoine et Benoît dimanche.
Nous aimerions pouvoir vous donner un peu de notre chaleur, ici il fait chaud, très chaud.
Hier soir Hubert nous a fait d’excellentes pâtes à la niçoise. En fait chacun rivalise d’ingéniosité culinaire, Hubert et ses pâtes, Carole et ses salades, Benoît et sa déclinaison de
lyophilisés.
Bon appétit à tous.
La météo vient de nous confirmer que dès demain l’alizé remettra du sud dans son est, aussi nous serons normalement bien à Recife pour accueillir Antoine et Benoît dimanche.
Nous aimerions pouvoir vous donner un peu de notre chaleur, ici il fait chaud, très chaud.
Hier soir Hubert nous a fait d’excellentes pâtes à la niçoise. En fait chacun rivalise d’ingéniosité culinaire, Hubert et ses pâtes, Carole et ses salades, Benoît et sa déclinaison de
lyophilisés.
Bon appétit à tous.
C'est reparti pour le Nord
Ce matin, mardi, nous avons repris la route pour le Nord, oh ! pas le
grand
Nord et son climat légendaire, non, car dans notre hémisphère à nous,
prendre le Nord c’est se rapprocher du soleil et de l’équateur.
C’est la météo qui nous a décidé à partir dès ce mardi car l’alizé d’est a
décidé de prendre du Nord et de se renforcer, c’est donc le vent dans le
nez que nous allons faire cette longue étape entre Salvador et Recife, 380
miles sur la ligne directe mais en louvoyant contre le vent c’est plus long
et beaucoup plus lent. Comme en plus jeudi l’alizé est prévu un peu fort,
nous avons prévu de peut-être faire une pose au 2/3 du chemin en mouillant
à Maceió.
Laure nous accompagne pour cette étape et, pendant que nous écrivons ces
lignes, elle s’est transformée en momie pour que le soleil ne la transforme
pas en homard.
Notre objectif est d’atteindre Recife avant Dimanche, jour où nous
récupérons Antoine et Benoît (un ami d’Antoine) pour d’abord participer au
carnaval d’Olinda avant de continuer notre route sur Natal et Fortaleza.
Nord et son climat légendaire, non, car dans notre hémisphère à nous,
prendre le Nord c’est se rapprocher du soleil et de l’équateur.
C’est la météo qui nous a décidé à partir dès ce mardi car l’alizé d’est a
décidé de prendre du Nord et de se renforcer, c’est donc le vent dans le
nez que nous allons faire cette longue étape entre Salvador et Recife, 380
miles sur la ligne directe mais en louvoyant contre le vent c’est plus long
et beaucoup plus lent. Comme en plus jeudi l’alizé est prévu un peu fort,
nous avons prévu de peut-être faire une pose au 2/3 du chemin en mouillant
à Maceió.
Laure nous accompagne pour cette étape et, pendant que nous écrivons ces
lignes, elle s’est transformée en momie pour que le soleil ne la transforme
pas en homard.
Notre objectif est d’atteindre Recife avant Dimanche, jour où nous
récupérons Antoine et Benoît (un ami d’Antoine) pour d’abord participer au
carnaval d’Olinda avant de continuer notre route sur Natal et Fortaleza.
dimanche 3 février 2013
Salvem Yemanja
Après quelques jours de mouillage dans les îles de la
« baie de tous les saints » nous sommes rentrés à la marina de
Salvador de Bahia pour récupérer Laure.
Celle-ci a eu le bon goût d’attraper un avion plus tôt ce
qui nous a permis l’après-midi même d’aller participer au Rio Vermelho (quartier
de Salvador) à la fête de « Yemanja »
Yemanja est pour une religion africaine la déesse de la mer.
Bien que catholiques, la plupart des Salvadoriens de couleur ont gardé leurs
coutumes animistes, Yemanja est donc une grande fête de leur calendrier.
Pour avoir la protection de cette déesse de la mer, ils se
réunissent très nombreux sur la grève et soit, jettent eux-mêmes des fleurs
dans la mer, soit, confient à un bateau de pêcheurs d’énormes paniers contenant
fleurs, parfums, produits de beauté, poupées, brosses à cheveux, miroirs… la
déesse étant une femme est bien sûr très coquette.
Ces pêcheurs trouvent des sponsors (nous avons été de
ceux-là) pour aller en mer jeter ces paniers.
Ainsi la déesse protègera ces généreux donateurs, rien de mal ne peut plus donc nous arriver !
Ainsi la déesse protègera ces généreux donateurs, rien de mal ne peut plus donc nous arriver !
Les Salvadoriens en profitent bien sûr pour se préparer au
Carnaval avec force musique, danses, alcool… et nous nous sommes rentrés
calmement au bateau pour se préparer à un nouveau départ.
En effet demain nous repartons faire quelques mouillages
dans la baie avant de mettre le cap au Nord sur Récife que nous devrions
atteindre en fin de semaine.
A bientôt donc.
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